Faussetés (in progress)
- Non, contrairement à ce que dit Georges Moréas, l'affaire n'a pas commencé par des doutes sur la famille et les Tapas Seven, puis aurait basculé sur l'enlèvement, hypothèse renforcée par les Britanniques. L'affaire a commencé par une petite fille égarée qu'il fallait retrouver le plus vite possible, ensuite le chef de la PJ pour l'Algarve s'est laissé convaincre que, l'enfant étant introuvable, elle avait été enlevée.
- Tout n'a pas été fait en raison d'obstacles mis dans les roues de la PJ, selon GM. Non et oui. Bien des obstacles étaient imaginaires, il y a eu surtout une peur de s'affirmer face à un pays dominant. "Trop de pressions diverses pour mener à bien l'enquête", oui, mais peut-on dire que le but non-dit était de blanchir les MC et leurs amis ?
- '"Mais pourquoi ? demande Jacques Pradel, une mauvaise publicité pour le tourisme au Portugal ? Mais les policiers, où qu'ils soient, ne roulent pourtant pour personne. Vous vous êtes mis dans la peau de ces enquêteurs, qu'auriez-vous fait, vous, si vous aviez été chargé de cette affaire ?"
-" En France ça ne pouvait pas se passer comme ça. La PJ ou le juge d'instruction n'auraient jamais laissé la police britannique mettre son nez dans cette affaire, c'est évident, il y aurait des relations suivies et entretenues, mais les maîtres de l'enquête auraient été des policiers français".
- Mais les Britanniques qui sont venus apporter leur aide n'étaient pas aux commandes, en tout cas l'ont répété maintes fois. Évidemment il y a eu la Gold Task...
- GM : "Une sorte de rivalité s'est créée entre les deux forces de police très rapidement en fait". Non, on ne peut pas dire ça des policiers présents à PdL, quoiqu'il y ait eu sans doute du double langage du côté de Stuart Prior par exemple.